4 Éléments de maçonnerie principaux et leurs accessoires
L'utilisation dans le même ouvrage d'éléments de maçonnerie de configurations, de résistances et de caractéristiques physiques non homogènes doit être faite selon les règles et restrictions du NF DTU 20.1 P1-1.
L'Annexe E définit les conditions d'utilisation des éléments de maçonneries en fonction de la classe d'exposition.
Les dimensions d'un élément de maçonnerie selon la série des NF EN 771 et leurs compléments nationaux, sont toujours annoncées en dimensions de coordination exprimées en millimètres et dans l'ordre suivant : longueur, largeur (perpendiculaire à la longueur et à la hauteur), hauteur.
La largeur correspond généralement à l'épaisseur de la paroi.
Les éléments de maçonnerie sont classés selon quatre groupes définis en fonction de leurs caractéristiques géométriques.
Le groupe d'appartenance de l'élément de maçonnerie est déclaré par le fabricant dans le cadre du marquage CE.
Les éléments de maçonnerie, leurs accessoires et les planelles avec un isolant incorporé ne sont pas visés dans le cadre du présent document
Les éléments spéciaux doivent être choisis dans la gamme des éléments courants auxquels ils sont associés.
Les éléments présentant des cassures ou épaufrures importantes ne doivent pas être mis en oeuvre tels quels. Il est toutefois admis d'utiliser, après découpe, les parties exemptes de défauts.
4.1 Briques et accessoires en terre cuite
Les briques et accessoires (éléments de coffrages spéciaux) de terre cuite sont conformes à la NF EN 771-1 et à son complément national NF EN 771-1/CN.
Pour les briques destinées à être enduites ou à rester apparentes, il convient d'utiliser celles déclarées comme telles par le fabricant.
L'épaisseur minimale des parois des briques de terre cuite de type U destinées à rester apparentes à l'extérieur est de 15 mm. Cette disposition vise à diminuer la fragilité des faces apparentes.
Les éléments de terre cuite destinés à être utilisés en soubassement peuvent être enduits ou non, selon le Tableau E.2 de l'Annexe E.
Les tolérances dimensionnelles des briques sont celle de NF EN 771-1. Seules les briques désignées par un (M) permettent de respecter les tolérances compatibles avec la pose à joints minces.
4.1.1 La résistance mécanique des briques
La résistance moyenne à la compression normalisée ƒb exprimée en MPa, est déclarée par le fabricant selon la NF EN 771-1/CN.
La pratique antérieure consistait à déclarer des résistances RC28, RC40, RC200 où la valeur exprimait la résistance moyenne en daN/cm2. 1 MPa = 10 daN/cm2, donc pour une brique RC40 cela correspondait à une résistance moyenne de 4 MPa.
Pour les murs porteurs, ƒb est au moins égale à 3,5 MPa.
4.1.2 Risque d'efflorescences sur des briques de terre cuite U destinées à rester apparentes à l'extérieur
Le complément national (NF EN 771-1/CN) de la NF EN 771-1 impose de tester les briques selon son Annexe A, afin de déceler un éventuel risque d'efflorescences provenant de la brique.
La compatibilité entre les briques et le mortier de montage utilisé doit être vérifiée sur le plan du risque d'efflorescences comme décrit au 3.2.1.
4.1.3 Autres produits accessoires
4.1.3.1 Mulots de terre cuite
Ce sont des éléments de revêtement épais destinés à rester apparents à l'extérieur. Ils sont fabriqués selon les spécifications des briques U destinées à être apparentes à l'extérieur comme indiqué dans la NF EN 771-1, ou découpés dans de telles briques.
4.1.3.2 Plaquettes de revêtement en terre cuite
Se référer au NF DTU 52.2 P1-2.
4.1.3.3 Linteaux préfabriqués à base d'éléments de terre cuite
Les linteaux préfabriqués, armés et calculés avec ou sans rehausse, doivent être conformes à la NF EN 845-2 et utilisés selon les indications du fabricant. Les exigences de durabilité des linteaux en fonction des classes d'exposition des ouvrages sont précisées en Annexe C du présent document.
Les linteaux sont dimensionnés par le fabricant de sorte que la flèche et les contraintes soient inférieures aux valeurs limites suivantes :
flèche = L/500 (sans dépasser 3 mm pour les ouvrages du NF DTU 33.1 : façades rideaux et NF DTU 36.5 : mise en oeuvre des fenêtres et portes extérieures) ;
contrainte de cisaillement à l'interface : limites données dans le 6.2.5 de la NF EN 1992-1-1 ;
contrainte en fibre inférieure : aucune (si < ƒctm alors calcul en section non fissurée, sinon calcul en section fissurée, avec ƒctm la résistance à la traction moyenne du béton du linteau) ;
contrainte en fibre supérieure : aucune sauf en classe d'exposition MX3 et MX4 (voir définition en Annexe E) où la limite est 0,6 ƒcj (ƒcj étant la contrainte de compression du matériau constitutif de la rehausse).
4.1.3.4 Appuis de baie en terre cuite
Les appuis peuvent couvrir entièrement la baie ou être fabriqués en petites longueurs assemblées avec du mortier.
Les appuis assemblés en oeuvre doivent être conformes aux exigences de géométrie des appuis de terre cuite définies dans le NF DTU 20.1 P1-1. De surcroît, la paroi extérieure d'un appui contenant des alvéoles a une épaisseur minimale de 15 mm dans le cas des seuils. Le respect de ces exigences est testé selon la NF EN 772-16.
4.1.3.5 Planelles en terre cuite
L'épaisseur minimale de la planelle est de 5 cm.
Dans le cas d'une isolation rapportée, cette épaisseur est portée à 7 cm (hors épaisseur de l'isolant).
4.2 Blocs et accessoires en béton de granulats courants et légers et en pierres reconstituées
4.2.1 Blocs en béton et en pierres reconstituées
Les blocs en béton de granulats courants ou légers sont conformes à la NF EN 771-3 et son complément national NF EN 771-3/CN.
Cela concerne les blocs à enduire et les blocs destinés à rester apparents.
Les granulats légers pour les blocs en béton sont ceux définis par la NF EN 13055-1.
La certification marque NF « Blocs en béton de granulats courants ou légers », ou son équivalent dans les conditions indiquées dans l'avant-propos, vaut preuve de la conformité des produits sans isolant incorporé aux exigences du présent document (conformité aux normes et aux exigences complémentaires spécifiées).
Les éléments de pierre reconstituée sont conformes à la NF EN 771-5 et à son complément national NF EN 771-5/CN.
4.2.1.1 Tolérances dimensionnelles des blocs
Il est rappelé que des tolérances dimensionnelles différentes sont prévues par la norme, afin de répondre aux différents types de joints selon que ces blocs soient à enduire ou de parement. Les tolérances D1 et D2 correspondent à une pose à joints épais et les tolérances D3 et D4 correspondent à une pose à joints minces.
4.2.1.2 Résistance mécanique des blocs en béton
La résistance caractéristique à la compression Rc, exprimée en MPa, est déclarée par le fabricant selon la NF EN 771-3/CN.
Pour déterminer la résistance à la compression moyenne normalisée ƒb exprimée en MPa, il convient de se référer au NF DTU 20.1 P3.
Pour les murs porteurs, ƒb est au moins égale à 3,4 MPa.
Les différents types de blocs en béton sont classés selon leur résistance à la compression dans des classes désignées par une lettre et un chiffre (exemples : B40, L40, P60). La valeur exprime la résistance caractéristique correspondante en daN/cm2 obtenue lors des essais selon NF EN 772-1. Les lettres correspondent aux blocs à enduire de granulats courants (B) ou légers (L), et aux blocs de parement de granulats courants (P) et légers (LP).
4.2.1.3 Risque d'efflorescences sur des blocs destinés à rester apparents à l'extérieur
Le risque d'efflorescences doit être vérifié comme décrit au 3.2.1.
4.2.2 Autres produits accessoires
4.2.2.1 Linteaux préfabriqués à base d'éléments en béton
Les linteaux préfabriqués, armés et calculés avec ou sans rehausse, doivent être conformes à la NF EN 845-2 et utilisés selon les indications du fabricant. Les exigences de durabilité des linteaux en fonction des classes d'exposition des ouvrages sont précisées en Annexe C du présent document.
Il est rappelé que des tolérances dimensionnelles différentes sont prévues par la norme, afin de répondre aux différents types de joints selon que ces blocs soient à enduire ou de parement. Les tolérances D1 et D2 correspondent à une pose à joints épais et les tolérances D3 et D4 correspondent à une pose à joints minces.
Les linteaux sont dimensionnés par le fabricant de sorte que la flèche et les contraintes soient inférieures aux valeurs limites suivantes :
flèche ≤ L/500 (sans dépasser 3 mm pour les ouvrages du NF DTU 33.1 : façades rideaux et NF DTU 36.5 : mise en oeuvre des fenêtres et portes extérieures) ;
contrainte du béton pour les classes d'exposition MX3, MX4 et MX5 (voir définition Annexe E), sous combinaison ELS caractéristique : b ≤ 0,60 ƒck où ƒck est la résistance caractéristique du béton du linteau ;
contrainte de cisaillement à l'interface : selon la clause 6.2.5 de la NF EN 1992-1-1 et son Annexe Nationale ;
contrainte en fibre inférieure : aucune (si < ƒctm alors calcul en section non fissurée, sinon calcul en section fissurée, avec ƒctm la résistance à la traction moyenne du béton du linteau) ;
contrainte en fibre supérieure : aucune sauf en classe d'exposition MX3 et MX4 (voir définition en Annexe E) où la limite est 0,6 ƒck (ƒck étant la résistance caractéristique à la compression du béton de la rehausse).
4.2.2.2 Appuis de baie préfabriqués et seuils en béton
Les appuis peuvent couvrir entièrement la baie ou être fabriqués en petites longueurs assemblées avec du mortier.
Les appuis assemblés en oeuvre doivent être conformes aux exigences de géométrie des appuis en béton définies au 5.10.5 du NF DTU 20.1 P1-1. De surcroît, la paroi extérieure d'un appui contenant des alvéoles a une épaisseur minimale de 15 mm dans le cas des seuils. Le respect de ces exigences est testé selon la NF EN 772-16.
Les appuis de fenêtre sont conformes à la NF P98-052.
Cette norme concerne les appuis de fenêtres monoblocs.
4.2.2.3 Corniches et couronnements
Pour les corniches et couronnements disposés sur l'ensemble de la périphérie de la construction, en béton de granulats ou en pierre reconstituée destinés à rester apparents, l'absorption d'eau par capillarité selon la NF EN 772-11 est Cws < 3 exprimée en g/(m2.s) pour ces éléments.
Pour un emploi dans les classes d'exposition MX3, les exigences applicables aux blocs de la NF EN 771- 3/CN s'appliquent.
La certification « Marque NF - Éléments architecturaux en béton ou fabriqués en usine », ou son équivalent dans les conditions indiquées dans l'avant-propos, vaut preuve de la conformité du produit aux exigences du présent document (conformité aux normes et aux exigences complémentaires spécifiées).
4.2.2.4 Planelles en béton
L'épaisseur minimale de la planelle est de 5 cm.
Dans le cas d'une isolation rapportée, cette épaisseur est portée à 7 cm (hors épaisseur de l'isolant).
4.2.3 Blocs de coffrage
Les blocs de coffrage sont :
conformes à la NF EN 15435 et à son complément national NF EN 15435/CN ;
de granulats courants ;
d'épaisseur supérieure ou égale à 20 cm ;
à remplissage complet, permettant ainsi d'obtenir un voile de béton continu et d'épaisseur constante.
La certification « Marque NF - Blocs de coffrage », ou son équivalent dans les conditions indiquées dans l'avant-propos, vaut preuve de la conformité du produit aux exigences du présent document (conformité aux normes et aux exigences complémentaires spécifiées).
Le présent document ne vise pas les blocs de coffrage à isolation intégrée, ni les blocs de coffrage à remplissage partiel.
4.2.3.1 Tolérances dimensionnelles des blocs de coffrage
Il est rappelé que des tolérances dimensionnelles sont prévues par la NF EN 15435 et à son complément national NF EN 15435/CN. Seuls les blocs de coffrage de classe de tolérances D3 ou D4 peuvent être posés à sec.
4.2.3.2 Résistance mécanique des blocs de coffrage
La résistance mécanique des blocs de coffrage doit respecter les prescriptions du complément national NF EN 15435/CN.
Les différents types de blocs de coffrage en béton sont classés selon leur résistance à la compression dans des classes désignées par une lettre et un chiffre (exemples : B40, etc.). Le chiffre exprime la résistance caractéristique correspondante en daN/cm2 obtenue par les essais selon la NF EN 772-1. La lettre B correspond aux blocs à enduire de granulats courants.
4.3 Blocs et accessoires en béton cellulaire autoclavé
Les blocs en béton cellulaire autoclavés sont conformes à la NF EN 771-4 et à son complément national NF EN 771-4/CN.
4.3.1 Blocs de béton cellulaire autoclavé
4.3.1.1 Tolérances dimensionnelles des blocs
Pour les blocs dits « blocs à coller » montés à joints minces, les tolérances doivent être TA et TB selon la NF EN 771-4 correspondant respectivement à des joints minces (TA) et (TB), les tolérances TB étant plus serrées que les tolérances TA.
Pour les blocs à enduire dits « blocs à maçonner » montés à joints épais, les tolérances doivent être GL.
4.3.1.2 Résistance mécanique des blocs de béton cellulaire autoclavé
Le choix de la résistance mécanique des blocs est déterminé par référence au NF DTU 20.1 P3.
En maçonnerie porteuse, la résistance caractéristique en compression minimale est de 3 MPa selon la NF EN 771-4/CN et les blocs doivent présenter une masse volumique d'au moins 350 kg/m3.
4.3.2 Linteaux préfabriqués à base de béton cellulaire autoclavé
Les linteaux préfabriqués, non armés avec ou sans rehausse, doivent être conformes à la NF EN 845-2 et utilisés selon les indications du fabricant. Les exigences de durabilité des linteaux armés en fonction des classes d'exposition des ouvrages sont précisées en Annexe C du présent document.
Les linteaux sont dimensionnés par le fabricant de sorte que la flèche et les contraintes soient inférieures aux valeurs limites suivantes :
flèche = L/500 (sans dépasser 3 mm pour les ouvrages du NF DTU 33.1 : façades rideaux et NF DTU 36.5 : mise en oeuvre des fenêtres et portes extérieures) ;
contrainte de cisaillement à l'interface : limites du 6.2.5 de la NF EN 1992-1-1 ;
contrainte en fibre inférieure : aucune (si < ƒctm alors calcul en section non fissurée, sinon calcul en section fissurée, avec ƒctm la résistance à la traction moyenne du béton du linteau) ;
contrainte en fibre supérieure : aucune sauf en classe d'exposition MX3 ou MX4 où la limite est 0,6 ƒck (ƒck étant la résistance caractéristique à la compression du béton de la rehausse).
Les linteaux préfabriqués, armés avec ou sans rehausse, doivent être conformes à la NF EN 12602 et utilisés selon les indications du fabricant.
4.3.2.1 Planelles en béton cellulaire autoclavé
L'épaisseur minimale de la planelle est de 5 cm.
Dans le cas d'une isolation rapportée, cette épaisseur est portée à 7 cm (hors épaisseur de l'isolant).
4.4 Pierres et accessoires en pierre naturelle
4.4.1 Pierres naturelles
Les pierres naturelles sont conformes aux NF EN 771-6 et NF B10-601.
Le vocabulaire usuel est précisé dans les NF EN 771-6, NF B10-601 et NF B10-101 « Pierres naturelles - Vocabulaire, Critères de résistance mécanique et de durabilité ».
Les caractéristiques dimensionnelles maximales pour les maçonneries porteuses visées par le présent document sont les suivantes :
trois assises au minimum par étage ;
si 15 cm ≤ épaisseur < 30 cm, alors élancement (longueur élément / hauteur d'assise) ≤ 3 ;
si épaisseur ≥ 30 cm, alors élancement (longueur élément / hauteur d'assise) ≤ 5.
L'aptitude à l'emploi des pierres dépend de leur destination dans l'ouvrage et de la localisation géographique de l'ouvrage. Les prescriptions d'emploi des pierres naturelles sont données par la NF B10- 601.
La résistance à la compression des éléments en pierre naturelle est déterminée selon la NF EN 772-1.
Le choix de la résistance mécanique des éléments en pierre naturelle est déterminé par référence au NF DTU 20.1 P3. En maçonnerie porteuse, la résistance caractéristique en compression minimale est de 3 MPa. La résistance moyenne à la compression normalisée ƒb exprimée en MPa, est déclarée par le fabricant selon la NF EN 771-6.
La détermination de l'absorption d'eau par capillarité est déterminée par référence à la NF EN 772-11.
L'épaisseur des murs en élévation en partie courante sans possibilité de rejaillissement dépend de l'absorption d'eau par capillarité. Cette épaisseur est donnée dans les Tableaux 5 à 7 du NF DTU 20.1 P3.
4.4.1.1 Tolérances dimensionnelles
La NF EN 771-6 définit des tolérances dimensionnelles qu'on rattache aux dénominations traditionnelles des pierres selon le Tableau 9.
Tableau 9 Types de montage en fonction du type de tolérance
4.4.2 Autres produits accessoires
4.4.2.1 Linteaux préfabriqués à base d'éléments de pierre naturelle
Les linteaux préfabriqués, armés ou précontraints et avec ou sans rehausse, doivent être conformes à la NF EN 845-2.
Les critères suivants doivent être respectés pour les linteaux :
flèche = L/500 (sans dépasser 3 mm pour les ouvrages du NF DTU 33.1 : façades rideaux et NF DTU 36.5 : mise en oeuvre des fenêtres et portes extérieures) ;
contrainte de cisaillement à l'interface : limites du 6.2.5 de la NF EN 1992-1-1 ;
contrainte en fibre inférieure : aucune (si < ƒctm alors calcul en section non fissurée, sinon calcul en section fissurée, avec ƒctm la résistance à la traction moyenne du béton du linteau) ;
contrainte en fibre supérieure : aucune sauf en classe d'exposition MX3 ou MX4 où la limite est 0,6 ƒck (ƒck étant la résistance caractéristique à la compression du béton de la rehausse).
Les linteaux non armés (d'une seule pièce en pierre naturelle ou clavés) doivent également répondre au critère de flèche ci-avant.
4.4.2.2 Appuis de baie préfabriqués en pierre naturelle
Ces appuis peuvent être constitués d'une seule pièce ou de plusieurs pièces assemblées avec du mortier. La résistance au gel de la pierre est conforme à la NF B10-601.
De plus, la pierre naturelle de l'appui, constitué d'une seule pièce, doit avoir un coefficient de capillarité (NF EN 772-11) perpendiculaire (C1w,s) ou parallèle (C2w,s) au sens du lit, suivant le mode de pose, inférieur ou égal à 200 g/(m2.s0,5).
Dans le cas contraire et si l'appui est constitué de plusieurs pièces, il est nécessaire de prévoir une membrane d'étanchéité.
4.4.2.3 Planelles en pierre naturelle
L'épaisseur minimale de la planelle est de 5 cm.
Dans le cas d'une isolation rapportée, cette épaisseur est portée à 7 cm (hors épaisseur de l'isolant).